Upper Barraka : ses jardins extraordinaires
Vous voulez reposer après avoir déambuler dans les rues ensoleillées et prendre le temps de se remettre de ses émotions maltaises avec une super vue ?
C’est bien dans les jardins de l’Upper Barraka qu’il faut aller.
Les cannons visibles depuis les jardins de l’Upper Barraka
C’est depuis ces jardins que vous pourrez assister 2x par jour ( à 12 et 16 Heures) le fameux tir des canons.
La batterie du salut était utilisée pour saluer les bateaux étrangers. Un canon tire à blanc encore aujourd’hui tous les jours.
La batterie est visible depuis les jardins de l’Upper Barraka ou se visite moyennant une entrée payante. Cependant un audioguide est à votre disposition dans votre langue.
On vous racontera ici l’histoire de la batterie ainsi que les utilisations défensives et rituelles. Le fonctionnement des canons y est également abordé.
Vous aurez également accès au musée qui abrite une d’artillerie, des canons historiques, une poudrière et une collection d’armes de poing. Si vous choisissez l’entrée payante, vous aurez l’autorisation d’être tout prêt de canon lors du tir de batterie.
La séance est très bien commentée vous permettant de replonger pendant un court instant dans le passé historique de Malte.
Les soldats sont fort accueillants et prêts à vous fournir davantage d’explications à la demande.
Depuis les jardins du Haut Barrakka , la vue est splendide sur le « Grand Harbour » et « Les Trois Cités ». Il y a d’ailleurs une table d’orientation qui vous permet de vous repérer en cas de besoin.
La bourse de Malte y est adoosée.
Astuce : Prévoyez d’être là une vingtaine de minutes avant l’heure fatidique. Vous pourrez ainsi voir le discours de présentation et le salut des militaires.
Les jardins
quant à eux, et oui il faut aussi en parler, sont vraiment splendides.
La ville fait un effort tout particulier pour que ses jardins soit entretenus au jour le jour d’une façon impeccable.
Ils sont arborés de fleurs magnifiques, et d’arbustes splendides. Les parterres sont remarquablement garnis.